Qui rase du bout de l’aile : L’eau dormante des marais, Voila l’enfant des chaumieres Qui glane i propos des bruyeres Le bois tombe des forets.
L’onde n’a plus le murmure , Dont i§a enchantait les bois ; Sous des rameaux sans verdure. Les oiseaux n’ont plus de voix ; Notre soir reste pres de l’aurore, L’astre a peine vient d’eclore Qu’il va terminer le tour, Il jette avec intervalle Une heure de clarte pale Qu’on appelle encore 1 jour.