Voici le conte la Belle et la Bete a imprimer en pdf pour la lecture avec la enfant. Les enfants adorent les contes et la lecture du jour, voici donc un nouveau conte a imprimer et a lire avec la enfant. Le conte de fees la Belle et la Bete est illustre de dessins en couleur et de dessins a colorier. Imprimez le conte et redecouvrez la belle histoire d’une Belle et la Bete ecrite via les freres Grimm
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Belle, Notre plus belle fille du marchand
Il y avait un coup dans un hameau, un marchand reellement riche qui avait six bambins, trois garcons et des filles. Notre marchand fit tout afin que ses bambins recoivent la meilleure education possible. Ses site de rencontre pour cГ©libataires mexicains meufs etaient tres belles ; mais la plus belle de toute etait la cadette. Des sa propre plus tendre enfant on prit l’habitude d’appeler la petite Belle Enfant. Ce nom lui resta cela causa de nombreux jalousie a ses soeurs.
Belle est non seulement la plus belle mais elle etait aussi la meilleure des trois filles. Les deux ainees avaient bon nombre d’orgueil, parce qu’elles etaient riches ; elles faisaient les dames, et ne voulaient pas recevoir les visites des autres meufs de marchands. Les s?urs de Belle n’acceptaient que des gens de premier ordre pour leur compagnie. Elles allaient tous les temps au bal, a J’ai comedie, a la promenade, et se moquaient de leur cadette, qui employait la plus grande partie de des heures a lire les meilleurs livres. Comme on savait que ces filles etaient fort riches, diverses gros marchands nos demanderent en mariage ; mais les deux ainees repondirent qu’elles n’epouseraient qu’un duc, ou bien au moins, un comte.
Notre Belle remercia ceux qui voulaient l’epouser, mais elle leur devoile qu’elle est trop jeune, ainsi, qu’elle souhaitait tenir compagnie a son pere, pendant certains annees encore.
Le pere de Belle perd sa fortune
Suite a un coup du sort, le marchand perdit le bien, et il ne lui resta qu’une petite maison de campagne, bien loin de la ville. Cela evoque en pleurant a ses bambins qu’il fallait aller demeurer dans cette maison, ainsi, qu’en travaillant comme des paysans, ils y pourraient vivre. Ses 2 meufs ainees repondirent qu’elles ne voulaient gui?re quitter la ville, ainsi, qu’elles avaient quelques amants qui seraient trop heureux de les epouser, quoiqu’elles n’eussent environ fortune. Les bonnes demoiselles se trompaient ; leurs amants ne voulurent plus nos analyser quand elles furent pauvres. Comme personne ne des aimait, a cause de leur fierte, on disait : « Elles ne meritent pas qu’on les plaigne ; nous sommes bien aises d’observer leur orgueil abaisse ; qu’elles aillent faire des dames, en gardant des moutons. » Neanmoins,, en meme moment, tout un chacun disait : « Pour J’ai Belle, nous sommes bien faches de le malheur ; c’est une si bonne fille ! elle parlait a toutes les pauvres internautes avec tant de bonte, elle est si douce, si honnete ! » Cela y eut meme diverses gentilshommes qui voulurent l’epouser, quoiqu’elle n’eut pas un sou ; mais elle leur dit, qu’elle ne pouvait se resoudre a abandonner son pauvre pere dans le malheur, ainsi, qu’elle le suivrait a Notre campagne concernant le consoler et l’aider a travailler. La pauvre Belle avait ete bien affligee de perdre sa fortune ; mais elle s’etait dit a elle-meme : « au moment oi? je pleurerai, faire mes larmes ne me rendront jamais mon beaucoup ; il va falloir tacher d’etre heureuse sans fortune. »
Quand ils furent arrives a leur maison de campagne, le marchand et ses trois fils s’occuperent a labourer la terre.
Notre Belle se levait a quatre heures du matin, et se depechait de nettoyer domicile et d’appreter a diner pour la famille. Elle eut d’abord de nombreuses peine, car celle-ci n’etait nullement accoutumee a bosser tel une servante ; mais, au bout de deux mois, elle devint plus forte, et Notre fatigue lui donna une sante parfaite. Di?s que elle avait fera son ouvrage, elle lisait, elle jouait du clavecin, ou encore elle chantait en filant. Ses 2 soeurs, au contraire, s’ennuyaient a la fond ; elles se levaient a dix heures du matin, se promenaient toute la journee, et s’amusaient a regretter leurs beaux habits et des compagnies.
– Voyez notre cadette, disaient-elles, entre elles ; celle-ci a l’ame si basse et si stupide, qu’elle est contente de sa malheureuse situation. Notre bon marchand ne pensait jamais comme ses filles ; il savait que la Belle etait brillante ; il admirait la vertu de cette jeune fille, surtout une patience ; car ses soeurs, non contentes de lui laisser faire tout l’ouvrage de la maison, l’insultaient a tout moment. Il y avait un an que cette famille vivait dans une telle solitude, lorsque le marchand recut une lettre via laquelle on lui mandait qu’un vaisseau sur lequel il avait des marchandises venait d’arriver heureusement. Cette nouvelle faillit Realiser tourner la tronche a ses deux ainees, qui pensaient qu’a Notre fin elles pourraient quitter cette campagne ou elles s’ennuyaient tant. Quand elles virent leur pere pret a partir, elles le prierent de un apporter des robes, des palatines, des coiffures, et toutes sortes de bagatelles. La Belle ne lui demandait rien ; car cette dernii?re pensait en elle-meme que bien l’argent des marchandises ne suffirait jamais pour acheter ce que ses soeurs souhaitaient.
Tu ne me pries pas de t’acheter quelque chose, lui evoque son pere.
Puisque vous avez la bonte de penser a moi, lui dit-elle, je vous prie de m’apporter une rose, car il n’en vient point ici. Ce n’est jamais que la Belle se souciat d’une rose, mais elle ne voulait pas condamner via le exemple la conduite des soeurs, qui auraient dit que c’etait Afin de se distinguer, qu’elle ne demandait rien.
Notre bonhomme partit ; mais, di?s qu’il fut arrive, on lui fit un proces Afin de ses marchandises, et, apres avoir eu de nombreuses peine, il revint aussi pauvre qu’il est auparavant.
Le pere de Belle au chateau de la Bete
Il n’avait plus que trente milles pour arriver a une maison, ainsi, il se rejouissait deja du bonheur de voir ses enfants ; mais comme il fallait passer un grand bois, avant de denicher sa maison, il se perdit. Cela neigeait horriblement ; le vent est si grand, qu’il le jeta deux fois en bas de son cheval.
Notre nuit etant venue, il pensa qu’il mourrait de faim et de froid, ou qu’il serait mange avec des loups, qu’il entendait hurler autour de lui. Tout d’un coup, en regardant au bout d’une longue allee d’arbres, il vit une grande lumiere, mais qui paraissait bien eloignee. Il marcha de ce cote-la, ainsi, vit que votre lumiere sortait d’un grand palais, qui etait bien illumine.
Le marchand remercia Dieu du secours qu’il lui envoyait, ainsi, se hata d’arriver a votre chateau. Cela fut beaucoup surpris de ne tomber sur personne en file. Notre marchand attacha son cheval dans l’ecurie, ainsi, marcha vers domicile, ou il ne trouva personne. Cela entra dans une grande salle et il y trouva un delicieux feu et une table chargee de viande, ou il n’y avait qu’un couvert.